On ne connaît pas de façon précise la date de construction de la Chapelle située en pleine nature, XIIIème ou XIVème siècle. Un historien voyait en Notre-Dame de Montfort la chapelle du château dont les ruines sont proches. Opinion vraisemblable puisque jusqu’à la fin du XVIIIe siècle c’était le seigneur de Pressiat-Montfort qui nommait le desservant et non l’abbé de Gigny dont dépendait Cuisiat.
La chapelle (d’après un chercheur local) devait occuper l’emplacement d’un autel consacré à une divinité païenne (Celte : le dieu des Marchands).
C’est tout près en effet que passait le chemin de Montfleur, voie autrefois très fréquentée, surtout par les maquignons se rendant à Montfleur et Arinthod, fameux centre d’élevage qui vendaient des mulets et des ânes dans toute la Gaule et même l’Espagne.
Dès la conversion au christianisme, l’autel à été remplacé par un petit oratoire. Plus tard, on a construit une chapelle qui a été détruite plusieurs fois.
On venait de très loin en pèlerinage à Notre-Dame de Montfort, on n’y conduisait les enfants sujets aux frayeurs ; on s’y rendait également pour demander la pluie et les femmes qui avaient à se plaindre de leur mari étaient paraît-il exaucées.
Le 22 pluviôse An II la cloche fut envoyée à Bourg en Bresse pour être fondue et la chapelle dégarnie de tout son mobilier. Seule fut sauvée la statue de la Vierge à l’enfant descendue à l’église de Cuisiat.
Vers 1950, l’édifice servait d’abri à un troupeau de moutons et en 1971, très dégradé, il menaçait de s’écrouler.
Un comité de restauration, la commune, le Conseil Général, les artisans locaux, l’Association des Amis de Treffort-Cuisiat et le soutien de toute la population entrepris les travaux.
La première messe dans la chapelle restaurée fut dite le 29 juillet 1971.
La chapelle (d’après un chercheur local) devait occuper l’emplacement d’un autel consacré à une divinité païenne (Celte : le dieu des Marchands).
C’est tout près en effet que passait le chemin de Montfleur, voie autrefois très fréquentée, surtout par les maquignons se rendant à Montfleur et Arinthod, fameux centre d’élevage qui vendaient des mulets et des ânes dans toute la Gaule et même l’Espagne.
Dès la conversion au christianisme, l’autel à été remplacé par un petit oratoire. Plus tard, on a construit une chapelle qui a été détruite plusieurs fois.
On venait de très loin en pèlerinage à Notre-Dame de Montfort, on n’y conduisait les enfants sujets aux frayeurs ; on s’y rendait également pour demander la pluie et les femmes qui avaient à se plaindre de leur mari étaient paraît-il exaucées.
Le 22 pluviôse An II la cloche fut envoyée à Bourg en Bresse pour être fondue et la chapelle dégarnie de tout son mobilier. Seule fut sauvée la statue de la Vierge à l’enfant descendue à l’église de Cuisiat.
Vers 1950, l’édifice servait d’abri à un troupeau de moutons et en 1971, très dégradé, il menaçait de s’écrouler.
Un comité de restauration, la commune, le Conseil Général, les artisans locaux, l’Association des Amis de Treffort-Cuisiat et le soutien de toute la population entrepris les travaux.
La première messe dans la chapelle restaurée fut dite le 29 juillet 1971.
Source : http://www.cc-treffort-revermont.fr/spip.php?article121